Quel paradoxe pour une personne plutôt positive et optimiste de n'avoir plus qu'une idée en tête... être négatif!
Eh oui, un après l'autre, les 26 participants à ce Muskathlon ont pris rendez-vous pour un test PCR. Un après l'autre a levé un peu la tête, se sont vus enfiler un écouvillon dans le nez... Et un après l'autre, nous avons ou allons attendre le résultat du test. Avec la même obsession, «être négatif!».
Les premiers participants sont déjà arrivés en Tanzanie. Un couple septuagénaire suisse-allemand, le couple Mosimann, les patrons des chaussures Joya... Jeudi un autre groupe s'envolera pour la Tanzanie, suivi du gros de la troupe, vendredi. Enfin, pour autant d'être... négatif!
Et c'est là que d'un coup, la sonnerie de notification se met à sonner... le résultat du test - dont on ne savait pas s'il allait arriver à H+24, H+36 ou H+48... tombe. Cinq heures seulement après l'épreuve de l'écouvillon dans le nez!
Ouf! Même que si on avait su que le résultat viendrait si vite, on aurait pris rendez-vous le jour d'après. Car, d'un coup, on est pris d'un doute - le test négatif serait-il contagieux? - est-ce que le test n'a pas été effectué trop tôt? Sera-t-il vraiment valable au moment d'arriver à l'enregistrement à l'aéroport de Genève? Pfff... nouvelle séquence de recherche sur internet. Il semble en fin de compte que ce soit bon. Le test est valable en Suisse jusqu'à vendredi après-midi et pour la Tanzanie, il doit avoir été effectué 96 heures avant de poser pied dans le pays.
Ah, je crois que je redeviens positif... Enfin, vous avez compris, juste moi, pas le test!
PS: J'aimerais vous dire merci pour tous les messages d'encouragement que vous m'adressez depuis quelques jours. Je suis très touché par votre intérêt, vos attentions! Vous êtes formidables!
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