La première douche froide, j'y ai eu droit dès que j'ai commencé à informer mes amis de ce projet. Dix minutes après avoir envoyé mes premiers messages WhatsApp, un ami me répond qu'il a vu un reportage sur l'ascension du Kilimandjaro sur TF1 le jour d'avant...
Evidemment, j'ai recherché l'émission, l'ai regardée... et je me suis dit: «Si j'avais su, je serais pas venu» (pas inscrit). Gloups...
Deuxième douche froide, la lecture de la liste du matériel indispensable pour cette expédition. Grâce aux conseils de mon ami Nico, également de l'expédition de février, j'ai immédiatement réalisé que mon équipement pour la rando sur les chemins pédestres appenzellois était légèrement insuffisant...
Un passage chez Decathlon plus tard, j'ai compris qu'il était tout-à-fait possible de bien s'équiper... mais que l'addition serait plus salée qu'imaginé.
Troisième douche froide, les premières sorties de marche, juste après Noël. Rien de tel qu'un bon jour de pluie pour tester le matériel,
Conclusion: un candidat à l'ascension du Kilimandjaro «douché» lors de sa préparation est vraisemblablement mieux préparé à partir à l'assaut du plus haut sommet d'Afrique... Ceci dit, même bien équipé, mieux vaut tomber sur une période sans trop de pluie pour grimper sur le Kilimandjaro. Car les bons vêtements de pluie repoussent l'eau un moment, mais pas éternellement...
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